Schneider Electric : une rencontre conviviale qui a tenu toutes ses promesses !

En lançant le concept de rencontre conviviale, le CSI France porte l’ambition de favoriser les synergies entre startups et industriels établis. Aussi, ces rencontres ouvertes au grand public est une occasion unique de découvrir les coulisses d’un monde industriel qui se réinvente : digitalisation, intelligence artificielle, robotisation, circularité, etc.

Si nous connaissons toutes et tous Schneider Electric et leur slogan Life Is On, nous sommes certainement peu nombreux à imaginer le niveau d’excellence et d’exigence que cette entreprise mondiale intègre pour poursuivre sa mission : permettre à chacun de tirer le meilleur de son énergie et de ses ressources, afin de concilier progrès et développement durable pour tous.

Accueillis par Virginie Rigaudeau en charge de la transformation durable et de ses équipes que nous remercions une nouvelle fois, les participants ont pu découvrir la stratégie ambitieuse de développement durable menée par l’entreprise mais aussi accéder à l’ensemble des étapes de conception des produits intégrant les technologies et automatismes les plus avancés.

C’est avec des yeux presque émerveillés que cette rencontre conviviale s’est clôturée autour d’un buffet propice aux échanges, à la mise en réseau et pourquoi pas aux partenariats.

Expertise by Circular4Good – Changer l’entreprise, changer les territoires

Changer l’entreprise, changer les territoires : le pari circulaire d’Emery Jacquillat, Président de la Camif et co-fondateur de la Communauté des Entreprises à mission

Nous sommes ravis de vous partager cette nouvelle Newsletter et ce nouvel épisode signée CIRCULAR4Good, podcast co-fondé par Aurélien Gohier et Grégory Richa, respectivement Directeur de la communication et Directeur associé chez OPEO.

 

Expertise | Podcast Circular4Good – Esther Finidori

Description:

« De son rôle de consultante chez Carbone 4 à sa direction stratégique de Schneider Electric, Esther Finidori a insufflé son expertise dans la transformation des entreprises vers la décarbonation et l’adaptation au changement climatique. Comment les entreprises peuvent-elles s’adapter et opérer dans un monde aux ressources finies ? Comment peuvent-elles répondre à la magnitude de l’urgence climatique dont on parle tant ?

Notre invitée a accepté aujourd’hui de répondre à ces questions cruciales, sous le spectre de l’industrie circulaire, thème de cette émission, aux côtés d’Aurélien Gohier et Grégory Richa, co-fondateurs du mouvement Circular4Good« 

 

ECOUTER L'EPISODE

Tribune | Il est urgent de financer en fonds propres nos startups industrielles dans tous les territoires, pour accélérer la transition écologique

Nous entrepreneurs et entrepreneuses de l’amorçage industriel, constatons le manque de moyens financiers en fonds propres pour mettre à l’échelle nos innovations et pérenniser un puissant écosystème industriel en France et dans ses territoires, dans un objectif de circularité.

Si nous applaudissons bien sûr le développement spectaculaire de sociétés comme Verkor, Flying Whales, ou Exotrail, nous souhaitons aussi mettre en lumière la diversité des startups industrielles, deeptech ou non, qui développent des innovations reposant sur des produits ou procédés industriels duplicables à grande échelle.

Nos innovations de rupture sont technologiques, mais aussi de produits, de procédés ou d’usage, et permettent de maintenir et développer des savoir-faire, animer l’activité économique et créer des emplois à travers les territoires, tout en contribuant à la résilience de nos chaînes de valeur et de notre souveraineté. Ces startups industrielles représentent de véritables accélérateurs de transformation organisationnelle, digitale et environnementale des PME,ETI et grands groupes avec lesquelles elles collaborent.

Nous demandons donc la mise en place d’un plan de financement en fonds propres ambitieux pour ces innovations industrielles, à travers la création, dans chaque région de France, de Fonds d’Amorçage Industriel Territoriaux. Ces fonds devront disposer d’enveloppes de 50 à 100 millions d’euros ; afin de réaliser des tickets d’investissement de 800 000 euros à 8 millions d’euros, sur des durées d’investissement de minimum 8 ans, voire sous un modèle rémunérant le capital patient. Ces fonds propres cibleront des phases de pré-industrialisation, et de mise à l’échelle d’outils productifs dans les territoires concernés. Ils contribueront à une démarche de création d’emplois et de savoir-faire industriels, peu importe la filière du projet concerné. De tels outils de financement existent déjà, – nous pouvons citer Asterion, Investir&+, Liberset ou le FAIM Demeter – mais sont aujourd’hui de vraies exceptions.

Nous réclamons la mise en place dès 2024 d’un plan de financement dédié à toutes les startups industrielles, en particulier celles qui s’inscrivent dans une démarche circulaire, sans restriction de technologie de rupture, dans la lignée du Plan France2030.

Investisseurs publics et privés, saisissez l’opportunité de contribuer à la réindustrialisation de la France en réconciliant l’industrie, la finance et le numérique au service de la transition écologique et sociale !

Startupeuses, startupeurs, unissons nos voix !

  • Nicolas Gambini, Fondateur Notilo+
  • Roland Pesty, ex COO Sintermat
  • Edouard Burnot, travaillant dans l’associatif, l’édition et les médias à impact
  • Alphadio Olory-Togbe, Fondateur Lavoir Moderne
  • Jean-Baptiste Pieret, Président Black Star
  • Sonia Artinian-Fredou, Directrice Générale FinD
  • Kareen Maya-Levy, Fondatrice Kippit
  • Christian Bruère, Président Mob-ion
  • Virginie Madrona Debavelaere, Présidente Sense & Shift – CEC Industries
  • Guillaume Perret du Cray, CEO Reekom
  • Rémy Ouaida, Directeur Innovation Le French POC

Tribune | Redéployons des usines en villes, par Louis de Lillers

Louis de Lillers, CEO de la startups industrielle CorWave, qui développe des pompes cardiaques implantables innovantes basées sur une technologie de rupture, la membrane ondulante a récemment publié une Tribune dans Les Echos .

La startup CorWave a récemment inauguré sa première usine au sein de la Région Ile de France, dans la ville de Clichy-sur-Garenne. Monsieur de Lillers revient sur la nécesssité de rapprocher les usines des centres vielles, puisqu’il indique que  « 80% des Françaises et Français vivent en ville, bannir les usines des centres urbains, c’est se priver de 80% de notre potentiel industriel »

Un autre point mentionné est le côté foncier. En effet, en Ile de France, qui fait face à une crise du logement, 4.5 millions de mètres-carrés de bureaux sont inexploités. Réinstaurer des usines au cœur des villes permettraient de combler ces locaux vides et aussi d’éviter l’artificialisation des sols, ce qui s’inscrit dans l’objectif de « Zéro artificialisation des sols » ZAN, du Gouvernement Français.

Enfin, au CSI France, nous pensons que, puisque de nombreux métiers de l’industrie sont sous tension, développer des usines dans les centres-villes prend tout son sens. Cela permettrait de rapprocher l’emploi des demandeurs et demandeuses d’emplois, de faciliter les formations mais aussi d’accueillir plus facilement le grand public. Cet accès facilité pourrait recréer de l’engouement pour l’industrie auprès des jeunes, qui représentent l’avenir industriel de notre pays, un des enjeux de notre souveraineté.

 

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Expertise | L’industrie s’attaque à son image de marque

Aujourd’hui nous vous partageons la dernières revue de l’OUR(S), média de la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui adresse le manque de communication par les industriels.

Explication

« L’image de l’industrie a souffert, surtout avec la vague de désindustrialisation de la France.

La communication semble loin pour les entreprises industrielles, mais son importance est souvent sous-estimée.

 Leur image est pourtant un actif créateur de valeur qu’elles auraient tort de négliger.

 L’image de marque de l’industrie, c’est le dossier que nous vous proposons dans ce numéro »

 

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Expertise | La chaise, vue par Brune Poirson et Eléonore Blondeau

« Contrairement à d’autres objets, la chaise est souvent utilisée plusieurs années et n’apparaît donc pas emblématique de la société du tout-jetable. Et pourtant…

Il lui arrive ce qu’il se passe pour l’essentiel de ce que nous consommons à titre personnel et professionnel, y compris le mobilier et les meubles : un gaspillage massif. Chaque année en France, plus de 2 millions de tonnes de déchets d’éléments d’ameublement (DEA) sont produits, des fauteuils de bureau aux casiers de vestiaires en passant par les armoires ou les tables de réunion. En 2021, seulement 35% de ces DEA ont été collectés par la filière, et ce, malgré le dispositif « Responsabilité élargie du producteur » qui impose aux fabricants et importateurs de mobilier de prendre en charge la collecte, le tri et la valorisation des articles ; malgré aussi le travail et la bonne volonté des éco-organismes agréés en ce sens par les pouvoirs publics pour récupérer ces mobiliers usagés et leur donner une nouvelle vie par le réemploi et le recyclage »

 

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Tribune | Usbek et Rica – Zola écrirait-il encore sur l’industrie ?

Obscurité, misère, exploitation, pénibilité… L’usine « à la Zola » est une expression consacrée de longue date. La formule est parlante : qui n’a pas bachoté Zola sur les bancs du lycée ? Cependant, elle a ses limites car elle ne fait qu’effleurer la pensée complexe de l’un des plus grands auteurs de notre littérature.

Dans ses plus grands livres, Zola se fait en effet le peintre du monde ouvrier : L’Assommoir en 1877, Germinal en 1885. Mais son œuvre n’a pas l’usine pour seul décor : on y trouve aussi les grands magasins avec Au Bonheur des Dames, ou encore les Halles dans Le ventre de Paris. Il y dissèque sans complaisance la société du Second Empire et mène une réflexion sur la place du travail, l’ordre moral, la justice sociale. Il décrit la « France courage », celle qui se jette dans le travail pour s’en sortir.

L’écriture qui révèle la société

Zola est fidèle aux principes du naturalisme : il fait naître sous sa plume un florilège de personnages qui, par leurs relations et multiples regards, révèlent la société du XIXe siècle. Avec un incroyable génie de la formule, il croque des personnalités en un rien de temps : « Entré en République comme on rentre au couvent » ; « Méchante pour passer le temps », « Honnête car il est plus doux de s’endormir ainsi  »…

Auteur/·es :

Olivier Lluansi et Virginie Saks, co-animateurs du Laboratoire d’idées des « Forces françaises de l’industrie »

Olivier Lluansi est aussi auteur de : « Les néo-industriels : l’avènement de notre renaissance industrielle », aux éditions Les Déviations, mai 2023

 

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Expertise | Industrie 0 carbone en 2050 : un horizon atteignable ?

Nous sommes ravis de vous partager que le CSI France figure dans ce nouveau numéro du FuturHebdo, réalisé par Le Comptoir Perspectiviste en coopération avec l’Institut des hautes études pour la science et la technologie (IHEST).

Ce numéro a été réalisé à la suite de l’université territoriale : « Industrie zéro carbone en 2050 : un horizon atteignable pour la Métropole Rouen – Normandie ? », événement également conçu par l’IHEST dans lequel le Comptoir Prospectiviste assurait la partie prospective.

Le témoignage de notre Présidente Eléonore Blondeau, a été repris page 108.

Bonne lecture !

 

Accéder au numéro

Expertise | Circular4Good – « On ne pourra pas négocier les lois de la physique »

Découvrez le nouvel épisode du podcast Circular4Good, animé par Aurélien Gohier, Directeur de la communication chez OPEO.

Dans cet épisode, Aurélien accueille Fabrice Bonnifet, Directeur du développement durable au sein du Groupe Bouygues.

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