Expertise | Réindustrialisation : Le CUBE – Le potentiel caché de nos territoires

Nous vous partageons cette synthèse : « RÉINDUSTRIALISATION: LE POTENTIEL CACHÉ DE NOS TERRITOIRES » écrite par GUILLAUME BASSET & OLIVIER LLUANSI

« La désindustrialisation de la France a démarré en 1975. La chute de l’emploi industriel était alors aussi rapide que celle de l’emploi agricole, commencée
bien plus tôt. Mais, si la politique agricole commune a soutenu cette mutation, aucun dispositif n’a accompagné celle de l’industrie.

Ainsi en 1990, notre pays avait déjà perdu un quart de ses emplois industriels et nombre de territoires s’étaient vidés de leur substance. Rien de tel en Allemagne, où l’emploi industriel est resté remarquablement robuste grâce à l’ancrage territorial de son Mittelstand1 dans ses Länder.

Il aura fallu attendre 2009 et l’organisation des États généraux de l’industrie pour voir le retour d’une politique industrielle en France. Plusieurs initiatives se sont alors succédé mais, pendant plus de 10 ans, les « territoires » sont restés un impensé. C’est seulement fin 2018 que le dispositif Territoires d’industrie est apparu. Quatre ans plus tard, la France ne semble pas avoir encore pris toute la mesure de ses territoires. Ils recèlent pourtant un potentiel inexploité pour notre renaissance industrielle ».

Télécharger la synthèse complète ici : Reindustrialisation le potentiel cache de nos territoires

Ressource | Livre Blanc Leyton x Usine Nouvelle « Impact 2025 »

Nous sommes heureux de vous partager le Livre Blanc de Usine Nouvelle & Leyton, auquel le CSI France a contribué !


Le Collectif Startups Industrielles France, a participé, avec 250 autres industriels, a cette étude sur la thématique du livre blanc qui est  : « Innovation, énergie, environnement et RH, quelles solutions pour transformer les industries ? »

Sommaire:

–          Comment lier enjeux environnementaux et business ?

–          Quelle stratégie bas carbone mettre en place ?

–          Comment lier engagement RSE et compétitivité ?

–          Quelles solutions pour mener (et financer) votre transition ?

–          Qu’en pense l’écosystème Leyton ?

Vous retrouverez également un témoignage de Eléonore Blondeau, Présidente du CSI France.

Lire le LIVRE BLANC USINE NOUVELLE x LEYTON_IMPACT 2025.

Evénement | 2ième “Learning Expedition foncier” du Collectif Startups Industrielles France

Deuxième Learning Expedition organisée par le CSI France en terres Clermontoises

Le 26 octobre 2022, la communauté du Collectif Startups Industrielles France était accueillie au Parc Cataroux à Clermont-Ferrand pour découvrir les différents pôles développés par MICHELIN pour accompagner l’amorçage industriel et la R&D matériaux.

Une 30 aines de participants (dont plus de la moitié de startups industrielles) s’étaient donné rendez-vous sous un beau soleil pour cette 2ᵉ LEARNING EXPEDITION.

Pour rappel, les Learning Expedition organisées par le CSI France ont pour vocation à faire se rencontrer sur le terrain des porteurs de projet industriel en amorçage avec des propriétaires, finançeurs et animateurs de lieux adaptés proposant une offre d’hébergement industriel, voire de mutualisation d’équipements, de ressources, d’expertises et de loisirs.

Le Parc Cataroux qui vise à réhabiliter un ancien site industriel Michelin afin d’apporter une contribution qui réponde dans la durée aux défis d’évolution du territoire dans les 10, 20, 30 années à venir représente 42 hectares dont les fameuses pistes d’essais.

Différents pôles en cours de développement :

  • Hall 32 / Pôle Industrie: 13 500 m2 avec Design Lab (prototypage, accompagnement, vitrine technologique), Process Lab (pré industrialisation, accompagnement, expérimentation technologique), parc machines (dont fabrication additive), équipe d’experts, formation initiale et continue
  • Pôle d’Innovation Cataroux (PIC): Un lieu de vie unique de 19.000 m2 :
    • Coworking : environ 1200 postes de travail
    • Coliving : 100 chambres et studios
    • food market : une dizaine de restaurants locaux
    • Evènementiel et créativité : une quarantaine d’espace dédiés
  • Centre des Matériaux Durables (CMD) : L’ambition du Centre des Matériaux Durables est de faire émerger un nouveau pôle économique sur le territoire pour développer de nouvelles activités autour des matériaux durables et du recyclage. Le pôle répond à la fois aux besoins de Michelin, du territoire auvergnat, et plus globalement à la stratégie industrielle du pays : réussir la transition écologique en accélérant notamment sur les technologies autour du recyclage et la fabrication de matériaux innovants. Depuis juin 2022, les équipes de Carbios sont installées sur le pôle (démonstrateur industriel, laboratoire de recherche et siège social), occupant 10 000 m2 sur les 25000 m2 dédié à ce pôle.
  • Manufacture Des Talents (MDT) : Des offres de développement et de services qui vont de l’orientation professionnelle au développement continu des compétences en passant par l’Ingénierie Pédagogique. Une expérience apprenante unique individuelle et/ou collective, centrée sur l’innovation, l’excellence et l’inclusion, portée par des outils innovants et des intervenants référents. Ouverte depuis janvier 2022 aux employés du Groupe Michelin, et à des salariés d’autres entreprises sur Hall 32 ou des personnes en retour vers l’emploi. En collaboration avec des acteurs locaux et nationaux (UCA, Écoles de Management Région AURA, Ecole IA Microsoft by Simplon, …)
  • Quartier des Pistes : Un projet d’urbanisme, réalisé en collaboration avec les partenaires publics, contribuera à ancrer l’ensemble du projet au bénéfice des interactions sociales et culturelles de la ville.

Le mot du Collectif :

Un lieu qui devient un quartier qui stimule tête et corps, secoue les neurones, agite les papilles, ouvre les écoutilles dans un mix de programmation qui mélange pratiques physiques et découvertes culturelles. Un lieu focalisé sur la culture active (la version 2 de l’Aventure Michelin, lieu de spectacle) sport et santé (La Cité du Mouvement) et les savoirs faire….

Si on ajoute à ces propositions l’offre de Start2Prod / Imeca (basé à Montagny), les porteurs de projets industriels en amorçage pourront trouver ici, à Clermont-Ferrand, tout un écosystème d’accueil, d’hébergement, d’accompagnement, d’expertise, d’équipements pour mener à bien leur développement industriel. Il s’agit là d’une expérience unique d’animation territoriale publique/privée de cette ampleur par un industriel (Michelin) et ses partenaires.

Tout au long de la journée, de nombreux échanges entre les participants et avec les équipes Michelin présagent de futures success stories de partenariat que nous suivrons avec attention.

Envie d’organiser une Learning Expedition sur un de vos sites ou sur votre territoire ? Contactez-nous à contact@csifrance.fr

Expertise | Décarbonation, pénuries… il faut adapter nos industries

Retour sur la première des quatre tables-rondes organisées par la Communauté des Offreurs de Solutions et animées par Bernard Bloch (ÉS), à l’occasion du salon de l’industrie SEPEM qui se tenait à Colmar du 14 au 16 juin 2022.

Décarbonation, pénuries, variabilité du coût des matières premières et des énergies, géopolitique, nombre de certitudes sont remises en question : nous devons comprendre, réagir et nous adapter.

Intervenants

Visionner le replay.

Expertise | Olivier Lluansi : Notre renaissance industrielle

Olivier Lluansi, associé de PwC Stratégy& et Senior Fellow à l’ESCP, dresse le constat implacable d’une situation très dégradée de l’industrie de la France par rapport à ses pairs européens. L’expert reconnu des filières industrielles par ailleurs, ex-délégué aux Territoires d’industrie, appelle à une véritable mobilisation générale pour un plan de renaissance qui passe par la construction d’un narratif partagé autour de l’industrie de notre pays et une série de mesures drastiques. Un enjeu de long terme et de cohérence. Lire la suite.

Interview | Maddyness : Les startups industrielles, encore freinées dans leur envol

Pour réindustrialiser et renforcer la souveraineté de la France, le gouvernement entend bien s’appuyer sur les startups industrielles à l’origine d’innovations de rupture. Une ambition qui ne pourra se réaliser qu’à condition d’offrir à ces sociétés l’environnement propice à leur développement. Lire la suite.

Expertise | Comment empêcher la perte des savoirs techniques et industriels ?

En 2030, tous les baby-boomers, la génération la plus nombreuse de l’histoire de France, auront dépassé les 65 ans. Parmi eux, nombre d’ingénieurs, techniciens et autres ouvriers spécialisés dotés d’un précieux savoir technique, dont les entreprises industrielles risquent d’être privées si des passerelles ne sont pas mises en place pour transmettre ces connaissances. Dans l’industrie nucléaire française, par exemple, qui connaît depuis plusieurs années des difficultés à recruter de nouveaux talents, le départ de toute une génération d’ingénieurs compétents fait d’ores et déjà peser des risques sur la validité de futurs projets. Mais ceci pourrait aussi avoir des répercussions à l’échelle de la société dans son ensemble. Lire la suite.

Expertise | Comment faciliter la réparation et le réemploi des produits industriels ?

Les conséquences économiques des crises récentes telles que la pandémie et la guerre en Ukraine ont souligné les vulnérabilités qu’entraîne la désindustrialisation de la France. Toutefois, la réindustrialisation ne pourra se faire qu’en mettant en place les conditions d’une industrie plus durable et écologique, ne serait-ce que pour se conformer aux accords de Paris sur les émissions de gaz à effet de serre. Beaucoup d’espoirs reposent à cet égard sur l’économie circulaire, du réemploi à la réparation. Lire la suite.

Note | Notion clé d’un cadre pour garantir la transparence de la collaboration entre un sous-traitant et une startup industrielle.

Dernière MAJ Août 2022

Objectif :

Définir les critères de collaboration qu’un sous-traitant de type bureau d’études ou sous-traitant de fabrication/production et une startup industrielle doivent avoir clarifier avant d’initier une collaboration afin d’éviter d’éventuels écueils, notamment lorsque le partenaire en industrialisation devient stratégique pour la survie du projet.

L’objectif de cette note est de proposer un cadre pour simplifier et rendre plus transparent les collaborations pour chacune des étapes du développement d’un projet. Aux points cités, s’ajoutent toutes les conditions classiques qu’une telle collaboration nécessiterait.

Pour rappel, un projet en amorçage industriel innovant peut se définir selon le modèle 3 / 3 / 3 :

  • 300k€* pour la R&D / prototypage: phase de recherche qui permet de valider le marché, de définir le cahier des charges fonctionnel puis technique, de concevoir et développer le produit jusqu’à la réalisation d’un prototype fonctionnel appelé « MVP » ou « Démonstrateur ».
  • 3M€* pour la pré-industrialisation : phase d’optimisation du produit tant en termes de coûts, de quantités produites que de fiabilité. Adapter le choix des fournisseurs, adapter le choix des technologies de production, adapter les technologies et méthodes d’assemblage et rédiger toute la documentation. Obtenir les certifications et respecter les normes.
  • 30M€* pour la grande série: phase où les objectifs d’optimisation ont été atteints et où l’on décide de reproduire le produit autant que possible en réalisant les meilleures économies d’échelles. Soit en interne, en créant sa propre infrastructure de production, soit via des sous-traitants.

(*ordre de grandeur pour un produit « plus gros qu’une boîte à chaussures »)

 

Points d’attention :

Lorsque le partenaire devient stratégique, des simples CGV ne peuvent suffire pour encadrer des relations, un contrat cadre doit être mis en place afin que les 2 parties puissent s’engager en connaissance de cause sur les points suivants :

Interdépendance des prestations

D’une part il y a des bureaux d’études qui ne proposent que de la prestation de conseil et d’autres parts ceux qui proposent des prestations d’assemblage, et parfois le même acteur propose les deux.

Dans ce dernier cas, il est avant tout primordial de clarifier s’il est nécessaire de prendre une prestation de conseil pour avoir une prestation d’assemblage et inversement ou si on peut bien prendre l’un sans l’autre. D’une manière générale le contrat doit définir si l’engagement sur une phase du projet nécessite forcément l’engagement sur la totalité de l’offre proposée.

En cas de prestation d’assemblage, y-a-t-il un minimum de produits à produire pour lancer la prestation ? y-a-t-il un maximum ? Le porteur de projet doit-il s’engager dans la durée ou sur des volumes ? Quelles sont les conditions « de sortie » pour changer de prestataire d’assemblage (par exemple, peut-on récupérer les outillages ou appartiennent-ils au sous-traitant, préavis…) ?

Confidentialité

L’ensemble de la collaboration doit être sous couvert de confidentialité et la documentation technique ainsi que la production ne peuvent être présentés à des tiers, sauf accord écrit des 2 parties.

Communication

Toute action de communication par l’une ou l’autre des parties sur son partenaire doit être validée, dans un délai de 14 jours minimum, avant publication. Une absence de retour vaudra acceptation.

Transparence fournisseurs

Au cas où le prestataire réaliserait le sourcing des composants et/ou l’assemblage des produits, préciser si le porteur de projet pourra avoir accès à la liste des fournisseurs, si oui noms + prix ? ou que noms ? Avoir accès à la liste des fournisseurs permettra au projet qui souhaiterait ensuite reprendre en main la production, de pouvoir faire appel à des fournisseurs qui connaissent déjà leurs besoins, tout en ayant conscience qu’ils ne pourront pas nécessairement avoir les mêmes prix.

Mettre en place les principes de la Charte relations fournisseurs et achats responsables.

Le prestataire doit obtenir le consentement écrit du client pour s’approvisionner de la part d’autres fournisseurs qui n’auraient pas été validés au préalable.

Propriété

Si des documents de production (gamme d’assemblage, procédure de tests/endurance, AMDEC…) ou outils d’endurance et/ou de production sont réalisés dans le cadre de la prestation, alors ils devront devenir la propriété du porteur de projet lorsque celui-ci aura payé la totalité de la prestation.

Un autre cas de figure est possible lorsque le sous-traitant ne fait payer qu’une partie de l’investissement pour l’amortir sur plusieurs clients et/ou marger sur la production série, dans ce cas là la propriété peut être partagée ou rester celle du sous-traitant.

Dans tous les cas, ce point doit être clarifié dès le début de la collaboration.

Organisation et engagement

L’organisation du travail et des tâches doit être clairement définie entre les parties prenantes. Que ce soit coté porteur de projet ou sous-traitant. Avant le démarrage de la prestation chacun doit avoir conscience de ses engagements et des attentes des autres intervenants du projet.

De même les sous-traitants doivent décrire clairement leurs engagements en termes de moyens et/ou de résultats et indiquer clairement quelles ressources ils vont mettre en œuvre pour arriver à livrer la prestation attendue.

Définir les process qualité et à qui revient la charge en cas de défauts.

Présentation plan d’industrialisation

Afin de faciliter l’intégration du plan d’industrialisation par le porteur de projet dans son business plan, il est recommandé au sous-traitant dans les budgets et plannings présentés de différencier CAPEX et OPEX et trésorerie (l’investissement doit être réalisé à telle date), de l’amortissement du matériel qui relève du bilan et de la rentabilité du projet.

Il serait ainsi idéal de décorréler dans la présentation du coût de revient du produit : la part humaine d’assemblage du produit, la part matérielle du produit et la part de l’amortissement des outils de production nécessaires à la production de celui-ci.

Présentation des différents livrables du projet

Afin de faciliter les différentes étapes du projet en termes de communication et de financement. Le contrat doit stipuler des livrables clairs à chaque phase du projet. Ces livrables doivent, autant que possible, être en cohérence avec les besoins financiers/marketing/communication/commerciaux du projet dans ces différentes phases. L’adéquation entre ces différents aspects du projet, ainsi que la pertinence technique des livrables sera un point clé de la réussite du projet.

Financement – Conditions de paiement

Dans une logique partenariale forte, le prestataire peut proposer de prendre tout ou partie du BFR en proposant au porteur de projet lors de sa commande de ne rien payer à la commande mais de payer à 30 jours fin de mois après livraison des produits assemblés.

Autre formule, le sous-traitant pourrait proposer de ne faire payer que la part matérielle à la commande et la part humaine d’assemblage à la livraison.

D’autres conditions de paiement peuvent être proposées, celles-ci doivent dans tous les cas être définies dès le début de la collaboration.

En cas de non-respect du calendrier de livraison convenu entre les parties, le prestataire peut encourir des pénalités de retard qui peuvent être définies comme suit :

  • Délai de retard de 1 à 30 jours calendaires : 0% de la partie de la livraison des produits ayant fait l’objet du retard ;
  • Délai de retard au-delà de 30 jours calendaires : pénalités plafonnées à 5% au plus de la partie de la livraison des produits ayant fait l’objet du retard en fonction des responsabilités identifiées.

 

Financement en fonds propres

Au cas où le sous-traitant serait rattaché à un Groupe ayant un fonds d’investissement, ou un groupement de business angels, le sous-traitant devrait connaître la thèse d’investissement de ce fonds afin de savoir quels sont les projets recherchés. Cela permettrait ainsi au porteur de projet de connaître dès le début s’il pourra prétendre à ces financements ou non dans le cadre du développement de son projet.

Exemple : un sous-traitant rattaché à un Groupe de la mobilité peut par exemple être amené à réaliser des prestations pour un porteur de projet dans le médical. Si la thèse d’investissement du Groupe n’adresse que les projets dans la mobilité, alors le projet dans le médical ne pourra pas en bénéficier. Il serait idéal que le sous-traitant en fasse connaissance au porteur de projet dès le début de la collaboration pour ne pas que le porteur de projet « se fasse des idées ».

Non-concurrence

Les conditions de collaboration entre le sous-traitant et d’autres clients aux activités concurrentes ou semblables doivent être clairement abordées et clarifiées dans le contrat.

Retrouvez l’ensemble des propositions du CSI France dans notre Manifeste des solutions disponible sur www.csifrance.fr.

Expertise | L’ENTREPRENEURIAT DE SAVOIR-FAIRE, UN FACTEUR CLÉ DE LA RENAISSANCE INDUSTRIELLE

Après plusieurs décennies de désindustrialisation, la France connaît une nouvelle dynamique industrielle portée par les pouvoirs publics et les acteurs privés, et soutenue par une évolution des tendances en matière de consommation. Les entreprises patrimoniales et les professionnels du savoir-faire en général ont un rôle important à jouer dans ces transformations, notamment à l’échelle locale. Pour pérenniser leurs activités, ces structures ont des attentes fortes en termes de financement. Et elles vont devoir relever des défis sur le plan de l’innovation, notamment repenser leurs modèles de gouvernance, répondre aux enjeux climatiques et faire évoluer leurs cultures managériales. Avec l’aide d’experts, Terre & Fils s’est penché sur la nécessité de faire de l’entrepreneuriat de savoir-faire, un enjeu clé de cette renaissance. Découvrez notre mini série en trois épisodes. Lire la suite.

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