Découvrez le nouvel épisode du podcast Circular4Good, animé par Aurélien Gohier, Directeur de la communication chez OPEO.
Dans cet épisode, Aurélien accueille Fabrice Bonnifet, Directeur du développement durable au sein du Groupe Bouygues.
Découvrez le nouvel épisode du podcast Circular4Good, animé par Aurélien Gohier, Directeur de la communication chez OPEO.
Dans cet épisode, Aurélien accueille Fabrice Bonnifet, Directeur du développement durable au sein du Groupe Bouygues.
Le smartphone reconditionné a le vent en poupe. Alternative budgétaire, prise de conscience environnemental ou effet de mode ? Nous tentons de décrypter cette tendance dans cet article.
Premièrement, il est important de rappeler certains chiffres sur le taux d’émission de Gas à effet de serres (GES) des smartphones:
Les smartphones représenteraient 13% des émissions de GES des terminaux numériques en 2019, correspondant à 11% des émissions totales de gaz à effet de serre du numérique. Enfin, la production des équipements neufs représenterait 75% de l’impact total du produit, tandis que la période d’utilisation et la consommation énergétique associée ne représenteraient que 25% de son empreinte totale » – Rapport ARCEP
Ces données montrent que les smartphones ont un impact important sur notre environnement, notamment à cause de leur durée d’utilisation. En effet, la moyenne d’utilisation d’un smartphone neuf en France est évaluée entre 23 mois et 37 mois. Le point positif : ces durées se sont allongées de 6 à 12 mois entre 2013 et 2019. Cependant, on estime la durée potentielle de vie d’un appareil entre 5 à 10 ans, ainsi, la marge de prise de conscience est grande.
Lorsque l’on prend les émissions globales de CO2 provoquées par la production et l’utilisation de smartphones, les ordres de grandeur explosent. Il faut compter 85kg de CO2 émis lors de la première année d’utilisation d’un téléphone neuf. En 2022, 1.4 milliards de téléphones ont été produits. Cela représente plus d’une centaines de million de tonnes de CO2 émis par an par les smartphones. 95% de ces émissions proviennent de la façon dont les matériaux sont extraits, et de l’envoie de ceux-ci. Il existe encore peu de solutions pour recycler un téléphone, et malheureusement, ceux-ci finissent dans des bennes à ciel ouvert. En 2014, moins de 16% des smartphones étaient recyclés.
Alors, avec ces chiffres en tête, que peut-on faire ? Certaines dynamiques prennent de l’ampleur, on vous en parle ci-dessous.
Les smartphones sont un combiné de plus de 60 éléments, dont l’aluminium, le cobalt, et l’or. Ces éléments sont principalement obtenus par des activités minières, qui, en plus d’être dangereuses pour l’environnement, le sont également pour les personnes, souvent des mineurs, qui travaillent dans de mauvaises conditions. Un grand nombre des matériaux nécessaires à la fabrication des smartphones, appelés couramment des terres rares, sont de plus en plus difficiles à récupérer. Ces difficultés accroissent la pression sur l’exploitation des mines et viennent également impacter le prix de vente des téléphones. Le prix élevé des smartphones neufs est une des raisons pour laquelle la demande de smartphones reconditionnés a pris de l’ampleur ces dernières années.
En France, en 2021, le taux de vente de smartphones reconditionnés à augmenté de 20% selon une étude menée par la société GfK, spécialisée dans le Market Intelligence. Depuis 2016, cette tendance est à la hausse, et elle semble continuer puisqu’en 2024, elle représentera 65 milliards de dollars.
Selon l’étude YesYes-Happydemics, un peu plus d’une personne sur quatre en France (42 %) a déjà acheté un produit reconditionné. 59 % d’entre elles déclarent l’avoir fait une fois et 41 % à plusieurs reprises. Parmi les individus ayant sauté le pas, 58 % se sont procurés un smartphone.
D’après cette étude, 85 % des français qui ont acheté du reconditionné reconnaissent qu’ils ont opté pour de la seconde main en raison de son prix. En effet, si vous souhaitez vous offrir un modèle neuf, il faudra débourser environ 1000€ contre 400€ ou 500€ pour un téléphone reconditionné.
Bon à savoir : un téléphone fleuron (flaship) perdra jusqu’à 50% de sa valeur après seulement 1 an d’utilisation.
Les plus jeunes semblent être les plus enclins à acheter du reconditionné. Les individus entre 15 et 34 ans sont ceux qui consomment le plus de produits reconditionnés. Selon l’étude GfK REC : Mieux consommer (Q2 2020), 40% d’entre eux des moins de 25 ans envisagent l’option reconditionné pour leur prochain smartphone.
Un smartphone, ce sont en moyenne 70kg de ressources extraites de la terre et il faut compter à minima 25 ans d’utilisations pour amortir son impact environnemental ! Cela vaut donc vraiment le coup de faire un effort sur ce type de produit fortement sollicité et très exposé à la casse accidentel. Le bris d’écran représente 70% des réparations sur ce genre de produit (#metsunecoque) ! Allonger la durée d’utilisation d’un smartphone représente un acte écologique, mais cela est encore plus vrai lorsqu’on se tourne vers un téléphone reconditionné et adapté à votre usage.
Enfin, nous vous recommandons de choisir une marque de téléphone sérieuse et un reconditionneur qualifié. Cela est valable pour les smartphones mais également pour tous les produits électriques et électroniques.
À la demande du gouvernement français, un label qualité harmonisé destiné au reconditionneur devrait voir le jour sous peu afin d’aider les consommateurs à repérer les entreprises sérieuses.
(Nous vous donnons plus d’informations sur le label ci-dessous)
Voici quelques pistes pour trouver votre smartphone reconditionné. Mais attention à ne pas confondre la marketplace, qui vous met directement en relation avec des revendeurs, et un spécialiste du reconditionnement, qui reconditionne lui-même les produits qu’il vend. Cette distinction aura notamment un impact sur la garantie du téléphone reconditionné. De 3 à 6 mois pour un revendeur classique et jusqu’à 24 mois chez un spécialiste.
Yes Yes propose d’ailleurs un nouveau concept de boutique-atelier, développé à Caen, afin de permettre à sa clientèle de voir sur place comment sont reconditionnés les produits. L’enseigne vient d’ouvrir une nouvelle boutique à Toulouse.
L’entreprise Yes Yes travaille également avec l’Institut du Numérique Responsable France (IRN) afin de créer un label du reconditionné. Nous en saurons plus en début d’année 2024 ! #Staytuned
L’INR et ses partenaires, la fédération nationale ORDI3E, RCUBE et le SIRMIET ont lancé depuis deux ans un travail collaboratif pour développer ensemble un référentiel de qualité, commun à la filière, destiné à distinguer les organismes spécialisés dans le réemploi et le reconditionnement des équipements numériques, en commençant par les téléphones, tablettes et ordinateurs.
Ce travail est réalisé avec l’appui, le soutien et le financement conjoint de la DGE et de l’ADEME et aux orientations données par le Ministère de la Transition Ecologique et de la Cohésion des Territoires d’une part et du Ministre délégué en charge de la Transition Numérique et des Télécommunications d’autre part. Gage d’assurance, ce nouveau référentiel qualité et son schéma de reconnaissance permettront de distinguer les organisations capables non seulement de respecter les exigences déjà élevées de la réglementation en vigueur en France, mais aussi de valoriser les meilleures pratiques des organismes de reconditionnement et de réemploi en termes écologiques et éthiques.
Il s’agit en effet de répondre à la fois :
Il est indéniable que le smartphone est devenu un « indispensable » du quotidien. Dans la sphère personnelle comme professionnelle, il permet de rester connecté à toute heure de la journée (pour un mal comme pour un bien, à vous de décider).
Cependant des alternatives à son utilisation actuelle voient le jour :
En France, environ 113 millions de vieux smartphones prennent la poussière dans nos tiroirs, alors qu’il existe des solutions pour leur donner une seconde vie ou les réparer, tout simplement 😉
– Option 1 : Donnez-le ! Il existe de nombreuses plateformes en ligne qui vous permettront de faire un geste humanitaire et environnemental, comme : Geev, Donnons.org, Toutdonner, ou encore Emmaüs.
– Option 2 : Vendez-le ! Si votre ancien téléphone est toujours d’actualité et en bon état, pourquoi ne pas le revendre ? De nombreux sites comme Back Market, Cash Express, Easy Cash ou encore Happy Cash s’occupent de vendre votre ancien téléphone pour vous. Vous pouvez également passer par des sites comme Ebay ou Le Bon coin.
– Ecosystem vous permet de renvoyer facilement votre ancien téléphone par voie postale sans payer.
– Ecologic met en place des collectes ponctuelles et de proximité.
Pour aller plus loin : acheter tous son électroménager de seconde main avec la startup Underdog, qui reconditionne l’électroménager à Nantes. En savoir plus ici.
Le salon Pollutec, l’événement international de référence des solutions environnementales pour l’industrie, la ville et les territoires, s’est tenu à Eurexpo Lyon du 10 au 13 octobre 2023. A cette occasion, l’équipe du CSI France a pu rencontrer et échanger avec de nombreuses startups industrielles.
En déambulant entre les très nombreux stands, nous avons découverts de nombreuses jeunes entreprises innovantes, en provenance de toutes les régions de France. Nous avons ainsi pu leur présenter le CSI France, et discuter avec elles de leurs freins, leviers et solutions. Voici une liste non exhaustive des startups sur le salon que nous avons eu le plaisir de (re)découvrir :
Le mercredi matin, nous nous sommes rendues sur le stand de la Métropole de Lyon, afin d’assister à une table-ronde, où Fanny Deléage, CEO et Fondatrice de la startup La Tannerie Végétale, et adhérente du CSI France, prenait la parole. La table-ronde portait sur le rôle des startups #deeptech* dans la transition écologique et sur leur développement. Les startups présentent ont ainsi pu témoigner sur l’accompagnement qu’elles ont reçu par le pôle de compétitivité Axelera, la SATT Pulsalys, et la Métropole de Lyon.
Les autres intervenant·e·s de cette table-ronde étaient :
Les startups :
Les accompagnants :
*un projet deeptech est un projet basé sur une technologie issue ou en collaboration avec un laboratoire de recherche académique
Pollutec s’est également posé la question de la conciliation, ou non, d’une réindustrialisation avec celle de la décarbonation.
Avec les interventions de :
On retient l’exemple de Mr Chabanel du recours à une startup industrielle pour allonger la durée de vie des pierres qui maintiennent les rails ou encore la vision portée par la Métropole de Lyon qui va bien au de-là de la #décarbonation et vise à mettre en œuvre une vraie circularité globale tenant compte des sources d’approvisionnement des énergies et ressources des organisations du territoire, privilégiant la #sobriété et encourageant l’éco-conception. Soutient également le déploiement d’une stratégie d’Ecologie Territoriale Industrielle* avec un exemple très concret sur le cas de la Vallée de la Chimie, mais aussi soutenir les producteurs et consommateurs/citoyens à mieux comprendre les enjeux et actions à mettre en œuvre pour transformer leur quotidien qui passe nécessairement par des actions de communication auprès du grand public et de formation des professionnels, sans oublier l’incitation au déploiement d’ateliers de réparation (ex : Maison Ma Bille) et de réemploi, voire de régénération, avec un plan ambitieux sur la filière agroalimentaire porté par Jérémy Camus puis enfin, une meilleure gestion des différentes fin de vie : recyclage, compostage (coucou Les Alchimistes), valorisation énergétique pour éviter à tout prix l’enfouissement.
*Focus sur l’EIT, un des 7 piliers de l’économie circulaire, avec l’outil « La Toile Industrielle » réalisée par le territoire de Dunkerque visant à étudier les flux de matières et énergies afin d’identifier des synergies pour tendre vers davantage de résilience et de sobriété tout en gagnant en souveraineté et sécurité des approvisionnements du territoire. On y ajouterait volontiers l’étude des flux de compétences pour flexibiliser le capital humain et répondre aux besoins des organisations d’une part et de recherche d’équilibre vie pro/vie perso d’autre part.
Enfin on salue une fois encore, l’expertise de l’ADEME sur le calcul d’impact environnemental, sur laquelle toutes politiques publiques ou projets économiques devraient se baser.
Dans le cadre de la 3ième Learning Expedition de l’Accélérateur Amorçage Industriel Circulaire, nous avons été accueillis par Renault Trucks à Saint Priest.
Le but de cette visite était de pouvoir échanger avec l’équipe en charge de la circularité au sein du Groupe Volvo afin de comprendre comment un groupe de taille internationale a pu transitionner d’un modèle linéaire à circulaire.
Renault Trucks est une entreprise de plus de 100 ans, qui s’est fondée sur le diesel et qui a pris le pari de passer à l’électrique. Présente sur le territoire nationale français ainsi qu’à l’internationale, Renault Trucks et plus largement le Groupe Volvo démontre que des convictions fortes peuvent changer l’histoire d’une entreprise !
Bruno Chazalette, Directeur de la circularité nous a ainsi présenté les 3 grands piliers sur lesquels s’appuie Renault Trucks pour passer du linéaire au circulaire :
Quel est l’objectif sur le long terme ? Le but, c’est qu’il y ait moins de camions neufs et qu’ils durent plus longtemps.
Comment ? En offrant une solution durable et propre s’appuyant sur les nouvelles énergies, afin de réduire notamment les quantités d’extraction des matières premières.
Nous souhaitions savoir quels ont été et quels sont les freins rencontrés dans la mise en place de ces piliers. Les freins évoqués sont :
Mais heureusement, face à ces freins, il est possible de mettre des solutions. Comme par exemple, remettre à neuf et ajouter les dernières fonctionnalités dans la cabine, offrir une maintenance prédictive, former et accompagner les concessionnaires et les chauffeurs dans l’acceptation de cette « nouvelle nouveauté ».
Bien entendu, après avoir écouté et échangé longuement, nous sommes allés visiter le site de reconditionnement des camions de Renault Trucks.
Nous avons même pu faire une petite session photo dans un camion ! 😉
Pour aller plus loin afin de comprendre pourquoi la mise en place de la circularité est primordiale pour la protection de l’environnement et maintenir des conditions de vie tolérables, nous vous conseillons de vous référer au Circularity Gap Report.
Vendredi dernier, L’institut National de l’Economie circulaire (INEC) a remis 40 propositions pour une industrie circulaire à la secrétaire d’Etat chargée de l’écologie Bérangère Couillard au sein du Ministère de l’Ecologie.
Ces propositions visent à proposer des amendements au projet de loi « Industrie Verte » et notamment à développer le chapitre sur la circularité. En effet, pour faire de l’industrie un levier de notre transition écologique & sociale, il est urgent que la sobriété devienne le maitre mot de ce texte car face aux ressources qui s’amenuisent, la décarbonation de l’industrie ne sera pas suffisante. Ainsi, il faut repenser à la gestion même des ressources, comme cela a été fait pour l’eau.
Ces propositions ont été rédigées par l’équipe et les adhérents de l’INEC dont notamment OPEO. C’est pourquoi le CSI France, représenté par Eléonore Blondeau et Grégory Richa, ont pu contribuer à la restitution en partageant certaines solutions inscrites dans notre Manifeste.
Le livre blanc complet des 40 propositions est à télécharger ici.
Après avoir délivré ces propositions pour une industrie circulaire, Emmanuelle Ledoux, directrice générale de l’INEC a été invitée à France Inter pour expliquer en quoi la circularité va plus loin que la décarbonation et doit s’appliquer à toutes les filières industrielles, pas seulement celles ayant un rôle écologique.
Découvrez son interview ici
Pour cette deuxième learning expédition du programme de l’Accélérateur Amorçage Industriel Circulaire, nous nous sommes rendus à la Vallée de la Chimie. Elle concentre un écosystème d’innovation et de production industrielle de premier plan autour des filières chimie, énergie, environnement et cleantech.
En cours de transformation, la Vallée de la chimie déploie une stratégie d’écologie territoriale industrielle afin d’optimiser les flux d’énergie, de matière mais aussi les ressources humaines de cet écosystème.
Dans un premier temps, nous avons été accueilli dans l’enceinte de Axel One : plateforme collaborative innovation-chimie, qui propose un accompagnement aux PME/ETI/ startups sur 3 domaines d’expertise :
– Smart process
– Matériaux avancés
– Procédés & solides divisés
Puis, après avoir enfilé blouses et lunettes de protection, nous avons visité la halle technologique. Au cours de cette déambulation et à la découverte des différents outils présents dans cette halle, nous avons pu découvrir Bjorn Thorsen, une entreprise danoise qui créé du plastique intégrant un pourcentage de matière recyclée.
Dans une second temps, nous sommes allés chez Les Alchimistes. Cette entreprise s’est engagée dans la collecte des déchets organiques chez les professionnels et les particuliers*. Lorsqu’ils récupèrent les déchets, ils les transforment en composte qui sera ensuite utilisé par les agriculteurs du territoire.
*Si vous êtes lyonnais.e, ce sont les bornes marrons où vous déposez vos déchets de cuisine.
Après ces visites enrichissantes, les accélérés ont ensuite effectué des ateliers de mise en pratique de leurs connaissances acquises au cours des différents workshops de l’AAIC. Ils ont avec notamment travaillé avec la startup Ecofhair, spécialiste de la dépollution à base de cheveux recyclés.
Nous remercions Jérome Poulalier, membre du CSI France, photographe partenaire de cet accélérateur et fondateur de Reportages-metiers.fr pour ces belles photos !
Revivez la première learning expedition du programme de l’AAIC chez Blackstar ici.
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Elle comprend :
Et bien plus encore.
A lire ici.
Extrait de l’article : « C’est la fin d’une époque, la fin d’un cycle. Les pièces de notre voiture qui ont fait quatre fois le tour du monde avant de se retrouver sous notre capot, l’Europe et l’Occident dépendants de la Chine pour la quasi-totalité des métaux critiques ou des terres rares utilisées dans nos éoliennes, dans nos voitures électriques et nos futurs trains à hydrogène, les fruits et les légumes qui n’ont plus de saisons, car eux aussi voyagent en avion, les usines qui ont été délocalisées en Asie pour des salaires de misère… »
Vous pouvez retrouver des extraits du nouveau livre de Olivier Lluansi : « Les néo-industriels : l’avènement de notre renaissance industrielle, est parue le 9 mai aux éditions Déviations », que vous pouvez vous procurer ici.
L’auteur : Olivier Lluansi associé du cabinet PwC Stratégy, chercheur en politiques industrielles à l’Ecole supérieure de commerce de Paris.
Lire l’article complet dans l’Opinion ici.
Nous avons participé en mars 2023 au salon Global Industrie en tant que co-animateur du Village Startups de Global Industrie. Pendant ce salon, nous avons organisé des tables-rondes, afin de discuter de thématiques clés autour de l’amorçage industriel et l’industrie circulaire.
Les startups industrielles ont besoin de foncier, d’équipement et d’expertise industrielle, les PME/ETI ont besoin de se transformer pour mieux intégrer les outils numériques, les nouveaux modes de collaboration et l’impact de leur activité sur l’environnement, et si la solution était dans les synergies entre les deux ?
Nous sommes ravis d’avoir accueilli :
Merci à Aurélien Gohier, Fondateur du podcast Industry4Good pour l’animation.
Un système collaboratif sur toute la chaîne de valeur clients : VIALOG fédère les savoirs faire de 15 entreprises industrielles et logistiques en Région Normandie sous l’impulsion de TOSHIBA-Dieppe
Travail avec des startups : avantages et facteurs de risques, Une mise en relation entre Startups technologiques et entreprises industrielles à structurer avec le concours de CSI France et BPI France
Retrouver le replay de la table-ronde ici >>
Nous avons participé en mars 2023 au salon Global Industrie en tant que co-animateur du Village Startups de Global Industrie. Pendant ce salon, nous avons organisé des tables-rondes, afin de discuter de thématiques clés autour de l’amorçage industriel et l’industrie circulaire.
La décarbonation c’est bien, la circularité c’est mieux.
Maintenant que les enjeux de la décarbonation sont intégrés par les acteurs industriels, l’étape suivante vise à intégrer les 7 piliers de l’économie circulaire à chaque étape de la chaîne de valeur jusqu’au business model.
Nous sommes ravis d’avoir accueilli :
Cette table ronde a été animée par Eléonore Blondeau, Présidente et Co-fondatrice du CSI France.
Pour en apprendre plus, visualiser le replay de la table-ronde ici >>